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lundi 19 avril 2010

Mai en Cambraisis

Une installation monumentale et éphémère au Théâtre municipal de Cambrai

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jeudi 21 janvier 2010

Dans le Corps de la Matière à La Plus Petite Galerie du Monde



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Pour une sémiologie de la matière

La Plus Petite Galerie du Monde (ou presque) 69, rue des arts à Roubaix, accueille mon travail récent depuis le dimanche 17 janvier 2010
L'exposition sera visible, encore et plus sereinement, les samedis 23 et 30 janvier 2010 de 15 à 18h30 et sur rendez-vous au 03 20 13 16 52


L’animation musicale a été assurée par Didier DEMARCQ, accordéon.
L’invité de l’invité* : Gianni CAPPELLETTI, présente des peinture et des tirages numériques




Dans la métropole Lilloise, la Plus Petite Galerie du Monde est un lieu privilégié, presque une institution où la création plastique de notre région a trouvé sa place. Son nom correspond à la volonté de Luc Hossepied, le créateur du lieu, de montrer simplement dans sa fenêtre, les œuvres de ses contemporains. Depuis quelques années pourtant un espace bien plus grand s’ouvre derrière la maison et l’artiste invité peut développer dans les 200 m2 d’un ancien atelier un plus ample travail.
Ce lieu est chargé du passé et du labeur attachés à l’histoire de la ville de Roubaix, y poser mes Å“uvres (je n’oserais pas dire pour ce lieu, mes travaux) est un enjeu : Confronter deux humanités fictives, celle de nos mémoires, celle que je construis peu à peu.

Depuis quelques années déjà, je représente des corps. Mon travail est donc figuratif, mais il se veut surtout plastique. Les matériaux que je travaille en sont les fondamentaux. Comme j'enseigne l’expression plastique à l’ E.S.A.A.T. de Roubaix et que j'aime les musées, nombreux sont les maîtres qui m'ont impressionné, les styles et les pratiques artistiques que j’ai observées et analysées dans le cadre de mon enseignement. Ce contact avec les œuvres du passé et celles de mes contemporains m'a incité à développer dans mes recherches personnelles l'expression du matériau. Ce n’est pas un style que je recherche, pas même un concept, je veux avant tout laisser parler la matière.

Le projet pour la Plus Petite Galerie du Monde s’organise par un passage du blanc vers le noir. Porteur d’un symbolisme latent, il met en scène trois matériaux ; la toile, la terre et le papier. La toile comme une référence à la tradition de la peinture et à la représentation picturale. La terre pour son éloquence naturelle, sa plasticité, sa capacité à recevoir l’empreinte de nos mains, de nos corps, de nos pulsions. Le papier, un vieux complice. Il est le confident de toutes les idées, de tous les moments, de tous les voyages. Il n’est pas bégueule. Simple et quotidien, il se prête à toutes les mises en formes.
L’exposition développe l’idée que le matériau de l’œuvre est le moyen de l’expression. Les corps en s’y incarnant y puisent leur identité ; les mêmes pulsions animent le corps et le matériau qui le représente ou le constitue. Son choix détermine des gestes et des formes spécifiques qui donneront à l’homme figuré sa présence et son intensité.



Papier et céramiques sont les matériaux privilégiés de cette exposition. Le premier, support de peintures crayons et mines diverses, est également le principal constituant d’une série de sculptures. Par une sorte d’hypallage à l’envers, le papier froissé, déchiré, chiffonné, plié, parle de nos états d’âme.
Vous avez dit : «hypallage» ? Es-ce que j’ai une tête d’hypallage ? Bien sûr et même une tête d’hypallage inversée car ce n’est plus, comme dans la figure de rhétorique, l’homme qui donne ses qualités à l’objet mais, ici, le papier froissé ou déchiré qui donne sa fragilité à l’humain.
Pour la céramique, en opposition à la sculpture ou au modelage traditionnel, c’est la nécessité technique qui, en obligeant à préserver un vide intérieur, amène à envisager un rapport entre l'intériorité et l'extérieur de la pièce. C’est un rapport de forces qui s’établit. Il devient le moyen d’exprimer les tensions entre l’intimité et la fragilité extérieure de la figure.



Il y a à la Plus Petite Galerie du Monde, du blanc et du noir, de la terre endurcie et du papier fragile, de l’enfoui et des suspensions. Ce sont des réalités physiques. Les mythes fondamentaux de notre culture comme les événements de notre quotidien peuvent s'inclure dans cette sémantique. Le sens est dans notre attente, dans notre besoin de savoir. Quand la matière s’amenuise, quand la figure se fragmente, le sens se détermine par notre vécu sans jamais devenir univoque. Le travail est modeste. Il n’impose rien. il est aussi ambitieux car il veut tout révéler.
Mon propos est une sémiologie des matières qui matérialiserait nos sentiments.

L'installation de la PPGM dit la fragilité humaine. cette exposition est devenue un hommage à ma Mère qui vient de décéder. Il y a pour conclure l'installation, comme dans le tableau Le Paradis de Thierry Bouts du musée des Beaux Arts de Lille, une ascension de formes vers la lumière, puisse-t-elle être le reflet de son repos.

Serge Boularot 2010




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Merci de votre visite et de vos éventuels commentaires, à bientôt, Serge Boularot

jeudi 29 janvier 2009

Des papiers au VRAC d'Armentières

Le peintre Jacques Chérigié, président du VRAC, qui anime la nouvelle galerie associative du VRAC {voyages, rencontres, art et culture} accueille quelques unes de mes oeuvres. D'aériens assemblages de papiers colorés à découvrir les samedis après-midi jusqu'au 28 février. Les feuilles de papier de couleur semblent flotter à quelques centimètres, devant leur support. Les collages de Serge Boularot, « qui sont plutôt des assemblages », comme le dit Jacques Chérigié, le président du VRAC, lors du vernissage de l'exposition, ont quelque chose d'aérien. Comme les feuilles d'un arbre qui, après s'être colores par l'effet d' une improbable magie, se seraient immobilisées .avec bonheur dans un ordonnancement parfait. Ici, les collages, mêlant des tons rougeâtres, bleus et blancs, évoquerait les tourments d'un ciel orageux. Là; un triptyque délicat semble donner trois versions différentes d'une humeur légère faite de bleus et d'ocres.

À l'entrée, un tableau totémique, sorte d'assemblage des écorces d'un tronc d'arbre, nous-laisse imaginer que les feuilles de papier seraient redevenues bois par enchantement.




L'oeuvre la plus spectaculaire prend quasiment toute la longueur d'un mur : « J'ai envie de parler d'un carton, à propos de cette oeuvre, dit Jacques Chérigié, car on pourrait effectivement en faire une tapisserie. » Serge Boularot, Parisien établi dans le Vieux-Lille depuis une vingtaine d'années et enseignant à l 'ESAAT de Roubaix, est un artiste protéiforme. On avait vu, il y a quelques années, ses sculptures de céramique au vivat. Ces derniers temps, le noir et toutes ses nuances avaient envahi ses huiles sur toiles et ses collages de papier. Mais aujourd'hui, Serge Boularot s'est redonné des couleurs, Et c'est lumineux,. B. T.

Exposition de Serge Boularot à la « Galerie 37., au 37, rue Marie à La Chapelle d'Armentiéres (quartier de La Choque). Ouvert les samedis après-midi de 15 h à 18h30. Contacts : 0320356852 ou 0320772501.

samedi 29 novembre 2008

Jubilé au CHR

décembre 2008 Dans le cadre du jubilé du CHR de Lille, quelques unes des identités anonymes qui avaient été présentées au festival "Un printemps pour la Tossée" en 2006, ont été accrochées pour l'occasion dans le hall de la faculté de Médecine Henri Warembourg à Lille.

Ces Identités anonymes ont été réalisées en hommage aux 165 salariés du Peignage de la Tossée licenciés en 2005. Au delà de cette circonstance, ces effigies présentent des femmes et des hommes dans leur nudité contingente sans apprêt ni attitudes esthétisante. Il sont face à l’adversité du sort. Cette humanité résignée, sérieuse ou angoissée mais toujours inquiète, exprime aujourd'hui la foule des patients confrontés à la fragile santé du corps.



jeudi 2 octobre 2008

L'ECLAT DES TENEBRES

Fabienne Brioudes directrice du centre culturel d'agglomération Balavoine, accueille mon travail de plasticien à l'occasion de l'ouverture de la saison de son centre à ARQUES près de St Omer.

La Présentation des œuvres se réparti entre deux lieux, le hall du centre culturel et une salle d'exposition dite "lieu créatif". Si vous passez à Arques pour voir mon travail, il faut savoir qu'il sera difficile de voir les deux espaces car ils n'ouvrent pas en même temps, la salle d'exposition est ouverte du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 18h, le centre n'est ouvert que lors des spectacles, éventuellement sur demande. En fait, l'exposition s'adresse particulièrement aux spectateurs du centre Balavoine et à des scolaires dans le cadre d'animations.

Pour le vernissage de l'exposition, Fabienne Brioudes a écrit ce texte élogieux et pénétrant sur les œuvres exposées, qu’elle en soit remerciée. Il servira, ici, de légende aux photographies.

Merci d'être avec nous, ce soir pour ouvrir ensemble ces 19 èmes Fêtes de la danse, la saison 2008-2009 et partager notre regard devant les œuvres de Serge Boularot. … / …

Si les œuvres de Serge Boularot sont dans l'attente, Les chorégraphies de ce soir seront mouvantes, Rares Différences rendra hommage au sculpteur Rodin, et le solo de Pal Frenack, dansé par Lisa Kostur sera entre attente et mouvement intérieur.

En cette fin de journée, les œuvres de Serge Boularot vous attendaient et vous accueillent.

Le corps humain est fait de vide et de plein, de rugosité et de peau lissée.

Confrontations de corps, de mouvement et d'immobilité. Mouvement du corps de l'artiste et suspension de l’œuvre.

Le corps dansant traverse l'espace, la statue occupe l'espace.

La danse colle au temps de la musique, la sculpture nous donne du temps pour regarder.

Dans les Å“uvres de Serge Boularot, le vide et le plein se confrontent, s'affrontent, se questionnent.


Les cages thoraciques s'ouvrent vers le ciel, espérant quelque chose, assises sur des bassins et des jambes solides et en correspondance avec la terre. Les cœurs carrés ou ronds interrogent en s'offrant à notre regard. Les bases des sculptures sont sûres d'elles-mêmes, inébranlables et portent au dessus d'elles le doute, l'hésitation, l'esquive, l'ouverture vers de multiples questions.

Pour moi, point de douleur dans cette cavité du cœur et de l'organe du souffle, à s'ouvrir comme cela au monde, parce que le corps du danseur est voué à s'ouvrir aux spectateurs, c'est-à-dire à s'offrir à nos yeux. Les sculptures et les dessins offrent, comme le danseur son imaginaire, sa force et sa faiblesse, tout ce qui fait que le corps sera oublié pour ne laisser que la trace du mouvement.

Ainsi ces sculptures pourraient offrir leurs organes vitaux en gage de bon augure, mais aussi leurs secrets, leur amour à un ciel prometteur, aux regards attentifs ou étonnés.

La peau céramique granuleuse, lisse ou sinueuse, garde des secrets. Obscure, pénétrée de traces et d'empreintes de vie.

La couleur fait appel aux nuits tourmentées, à l'absence de lumière. C'est dans la nuit que les secrets sont révélés, que les rêves naissent. L'obscurité du Raku, témoigne du passage du feu et de la carbonisation, la trace de la force et de la chaleur.

Sculptures et peintures fortes sur leurs jambes, solides et décidées sont l'écho des corps en mouvements, luisant, brillant sous les lumières, du plateau du festival. Peintures à l'huile et acrylique, donnent un écho gigantesque aux statuts à taille humaine.

Corps masculins, immenses et suspendus, donnent l'illusion d'un paysage lointain. Leur grandeur habite l'espace du hall, mais nous élève vers le haut. Parfois fragiles, parfois solides, en fonction de la touche et du chromatisme, l'émotion naît de l'attitude et de la pose.


Ce soir cela fera 9 ans, depuis décembre 1999, que le centre culturel a ouvert son activité culturelle. Dix ans durant lesquels, 10 personnes ont travaillé et ont rendu possible l'aventure De ce théâtre, de ces expositions et de ces festivals. A ce titre je voulais remercie toute l'équipe, les intermittents, les anciens membres du bureau et les nouveaux, le Président Monsieur Alain Bultez toujours présents chaque mois qui depuis ces 9 années ont fait tourné la machine et sans qui cette fabuleuse expérience théâtrale ne pourrait pas lieu.

Il fallait pour rendre hommage à ces neuf années là, toute la force et la beauté des œuvres d'arts plastiques de Serge Boularot…

Fabienne BRIOUDES

samedi 3 mai 2008

Matière Anatomie Couleur

A l'initiative de Maryse Devick Directrice de l'Atelier 2 à Villeneuve d'Ascq et de Jean Claude Louart Directeur de la communication du Crédit Agricole Nord de France, cette exposition rassemble un ensemble de pièces choisies par J.C. Louart. Un choix exigeant qui m'a amené à développer encore plus mon travail de sculpture et la réflexion que je poursuis depuis 2001 sur la matière de l'oeuvre (peinture, toile, papier, raku, grès, porcelaine, émaux ...), et son l'influence sur les figures représentées.

Exposition visible jusqu'au 30 Juin 2008
au siège social du Crédit Agricole Nord de France
10, avenue Foch à LILLE
tous les jours sauf samedi, dimanche et jours fériés
de 9h à 19h

Un Homme debout



...une ligne verticale anime souvent les grands formats. 2 mètres «L’échange » : la taille d’un homme… Mais un homme, à la limite du lisible, qui s’efface parfois, corps blanc et translucide, un homme suggéré, qui se confond avec le champ coloré au point de s’y engloutir presque totalement. Bien plus souvent encore une femme, dont la tête est traitée allusivement, suggérant par là que la peinture échappe à l’anecdotique pour davantage évoquer l’idée du corps comme une abstraction. Dans «Apparition », le dessin du corps s’évanouit dans la texture blanche de la toile, à peine visible, en filigrane. Parfois une tache à la limite de l’abstraction rend la compréhension de l’image problématique et le spectateur se demande s’il s’agit d’un corps ou d’une ligne verticale de couleur esquissée. Un homme dans la suggestion pure de la verticalité… mais, lorsque le tracé est plus lisible, toujours représenté debout, des pieds jusqu’à la nuque. «Corps révélés ».



La représentation théâtralise l’image, buste caché, dans l’ombre jusqu’au pubis. L’image s’apparente à une mise en scène théâtrale où se diraient des histoires énigmatiques. Plusieurs corps se rencontrent pour un échange mystérieux, êtres surgis de nulle part aux modelés paradoxaux, tout tordus par le clair-obscur. La violence du réel transparaît derrière ces ombres étranges, et l’artiste peut alors utiliser cette technique pour servir la cause d’anonymes en souffrance. Les « 165 identités anonymes », grands dessins sur papier blanc, ont permis de construire un hommage plastique aux salariés de l’usine de la Tossée (usine de peignage), licenciés en 2004. Ces grands corps, simplement dessinés, se tiennent debout, dans toute la fragilité de leur humanité,



Serge Boularot est venu à la sculpture à force d’ériger ces êtres humains de papier, dressés sur leurs pieds, matérialisation rendue possible par sa découverte du Raku dans les années 2000 avec Emile Desmedt, à l’Académie des Beaux Arts de Tournai. La technique du Raku, terre chauffée à 1000 °, puis jetée rapidement dans des copeaux de bois pour la faire refroidir très rapidement, va initier cette terre craquelée dont les coulures oxydées vont créer des fentes picturales, des veines, et l’enfumage, des noirs très intenses. Peintre depuis 1986, l’artiste a éprouvé le besoin de prendre le corps en main, de le mouler, de le pétrir pour en pénétrer l’intérieur. La sculpture achevée laisse jouer encore cette imbrication étrange des masses et du dessin, dressant un corps noir, en apparence solidement planté sur ses deux pieds, mais sans tête, ouvert sur un intérieur vide, où ne se lisent que les traces des doigts du sculpteur, pures empreintes. Le «Torse platonicien » (porcelaine, engobe et oxydes métalliques) de 2006, les corps déformés, presque torturés font davantage songer à des plantes noueuses, des arbres ou à la chrysalide vide d’un papillon qu’à l’homme lui-même. Le corps paraît constitué de fragments recollés, reste de la brisure de l’homme incarné dans le réel, dans l’absurdité de son destin, voué à la mort…

Laurence Boitel, Responsable de la Galerie de l’Atelier 2 / Espace Francine Masselis, avril 2008

vendredi 18 mai 2007

Accrochage au C.I.C. Romarin

A l’invitation de Nathalie Machart, directrice de l'agence du CIC Romarin, j’ai accroché quelques toiles dans son agence bancaire à l'occasion de son inauguration.
au mois d'avril 2007.





Comment ne pas "investir" cet espace de notre quotidien?

dimanche 18 mars 2007

Illustrations pour Lieux d'Être

La revue thématique de création littéraire et artistique Lieux-d’Être vient de paraître.

Les rédacteurs et particulièrement Madeleine Carcano m’ont invité à illustrer ce numéro 42 intitulé : « Matinale (s) ».



Ci-dessous, la couverture et quelques unes des Illustrations




Matinale 6 Techniques mixtes et papiers collés


Matinale 7 Techniques mixtes et papiers collés

Matinale 8 Techniques mixtes et papiers collés



• Pour commande d un seul exemplaire : 13€ + 3,25€ de port

• Pour Abonnement (deux numéros) : 26'€ et plus. Merci Abonnement soutien 30 €

• Abonnement à partir du n ° NOM PRENOM ADRESSE CODE POSTAL VILT,F, ∎ Dans la mesure du possible, n'oubliez pas de nous préciser S.V.P. le point de départ (thème et numéro) de votre abonnement ou réabonnement à la revue LIEUX D ETRE. Merci.

Réglement à l'ordre de Lieux d'Être DATE ET SIGNATURE Contacts, Abonnements, Envois de textes, recueils ou revues ... À Régis LOUCHAERT La Morinie, B.P 260, 62504 ST OMER cédez À Madeleine CARCAND, 17 rue de Paris, 59700 MARCQ EN BAROEUL, © ; 03 20 51 94 84

dimanche 18 juin 2006

LA CONDITION HUMAINE

Ces céramiques ont été présentées dans le cadre des journnées portes ouvertes de l'atelier Françoise Cludts et Emile Desmedt à Tournai en mai 2006